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  •     le syndicat aide à faire respecter les droits face à la complexité des organismes sociaux.
  • L’AFOC fait respecter les droits des consommateurs FO face aux commerçants récalcitrants.
c C’est recevoir l’information pour les droits à la formation continue au travail ou pour trouver une autre filière professionnelle.
c C’est mieux connaître la législation du 1% logement pour la recherche d’un logement ou pour faire construire.
c C’est aussi un avantage pour la réduction de l’imposition de 66% ! Avantage non négligeable !
onditions de travail.
c C’est le quotidien pour le salarié et sa famille :
  • le syndicat aide à faire respecter les droits face à la complexité des organismes sociaux.
  • L’AFOC fait respecter les droits des consommateurs FO face aux commerçants récalcitrants.
c C’est recevoir l’information pour les droits à la formation continue au travail ou pour trouver une autre filière professionnelle.
c C’est mieux connaître la législation du 1% logement pour la recherche d’un logement ou pour faire construire.
c C’est aussi un avantage pour la réduction de l’imposition de 66% ! Avantage non négligeable !
Ouvrière, c’est quoi ?

c C’est combattre l’isolement dans l’entreprise en rejoignant une équipe de camarades qui se défendent.
c C’est se faire respecter par la hiérarchie et le patron.
c C’est imposer, par le syndicat la négociation pour l’augmentation des salaires et l’amélioration des conditions de travail.
c C’est le quotidien pour le salarié et sa famille :
  • le syndicat aide à faire respecter les droits face à la complexité des organismes sociaux.
  • L’AFOC fait respecter les droits des consommateurs FO face aux commerçants récalcitrants.
c C’est recevoir l’information pour les droits à la formation continue au travail ou pour trouver une autre filière professionnelle.
c C’est mieux connaître la législation du 1% logement pour la recherche d’un logement ou pour faire construire.
c C’est aussi un avantage pour la réduction de l’imposition de 66% ! Avantage non négligeable !
                                 

























                                               

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       Tel: 03 21 69 88 00
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Le siège de l’UDFO62 se trouve:
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                                                LE  MEETING
                                 DE

Être syndiqué à Forctre JEAN CLAUDE MAILLY
                                   à
                          SAINT OMER

                       FUT UN SUCCES

            MERCI MES CAMARADES POUR CETTE REUSSITE


                                                                                          VOTRE SECRETAIRE NATIONAL

                                                                                                JEAN CLAUDE MAILLY

                                                                                                                   ET

                                                                                 VOTRE SECRETAIRE DEPARTEMENTAL

                                                                              VOUS REMERCIENT  DE VOTRE PRESENCE


         CORDIALEMENT

SALUTATIONS FRATERNELLES 

    A TOUS LES CAMARADES


                                                                                                                                                LE SECRETAIRE GENERAL

                                                                                                                                                JEAN BAPTISTE KONIECZNY


NOS REMERCIEMENTS  AU MAIRE DE SAINT OMER

MR  Bruno MAGNIER
1er Vice-Président de la CASO
Conseiller Régional

POUR SA PRESENCE ET POUR SON INTERVENTION AVANT LES DISCOURS  DE JEAN BAPTISTE KONIECNY ET DE JEAN CLAUDE MAILLY


JEAN CLAUDE MAILLY  préfère être sur le terrain que prendre part à un rassemblement contre le plan d'austérité, organisé hier à Paris à l'appel de cinq syndicats - CGT, CFDT, FSU, Solidaires et UNSA -, qui

 « épuise les salariés et ne fera pas changer le gouvernement ».

Je me sens  mieux dans l'Audomarois avec vous mes camarades que sur le pont de la Concorde. « Je trouve que c'est plus utile pour notre organisation syndicale »  « On a laissé aux unions départementales le choix d'être ou ne pas être des manifestations, en fonction de ce qui leur semblait bon. Je ne suis pas amnésique, je me souviens de l'an dernier, on est descendu dans la rue et on a perdu. »

« Faire remonter les problèmes »

Pour ne pas perdre encore, Jean-Claude Mailly appelle à la grève.

« C'est le seul truc qui fait bouger, vingt-quatre heures de grève et plus ».


AUX  QUATRE CENT CINQUANTE  CAMARADES qui attendent son intervention salle Vauban, à  SAINT OMER  en milieu d'après-midi.

Le matin Jean Claude a rencontré les salariés sur leur lieu de travail, pour faire remonter les problèmes au gouvernement. » Arpenter le terrain, ainsi qu'il le fait deux ou trois fois par semaine pour ne pas « se déconnecter. Ça fait plaisir d'être dans le Pas-de-Calais, ce sont mes racines, mon département », confie-t-il.

 C'est dans l'Audomarois que Jean-Claude Mailly a rejoint les 450 militant(e)s et sympathisant(e)s FORCE OUVRIERE  ce mardi 13 décembre 2011

Il a visité

 Le papetier wizernois Arjo-Wiggins où on a « recours à la pâte à papier, y compris pour le papier recyclé. La France n'exige pas de minimum en papier recyclé et quand il y a rupture d'approvisionnement, l'entreprise ne peut plus fonctionner. C'est quelque chose que je vais faire remonter au gouvernement ».

L'hôpital, le service des urgences et l'établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD), il dresse le constat qu'on entend partout ailleurs :

                                                                                            Insuffisance de personnel,

                                                                                            Heures supplémentaires non payées,

                                                                                            Conscience,compétence heureusement du personnel.

 Pour Arc International, Jean-Claude Mailly ne semble pas inquiet. « Le plan de restructuration touche à sa fin. Le personnel a fait beaucoup d'efforts, prouvé sa flexibilité. Visiblement, même si on ne sait pas ce que sera la situation économique en 2012,2013.......... ils veulent maintenir l'emploi. Ils fabriquent en Chine pour la Chine, en Russie pour la Russie. Ce ne sont pas à proprement parler des délocalisations. Il faut toujours être vigilant. Le secteur à surveiller, c'est la recherche et le développement. Tant qu'il reste là, c'est bon pour l'entreprise. »

À la mairie de Saint-Omer, où Jean-Claude Mailly a déjeuné, le secrétaire général de FO s'est fait expliquer la situation économique globale de l'Audomarois.

 « on ne donnera pas de consigne de vote, mais on ne va pas se taire sur nos revendications mes camarades ».

 À l'aube, pourquoi pas, d'un troisième plan de rigueur, « ce n'est pas à exclure, même après les élections », souligne Jean-Claude Mailly. Il prévient qu'il

 « il faudra réagir. «On garde des cartouches camarades !»

 C'est pour ça qu'on n'a pas demandé aux militants de sortir si ça ne donnait pas de résultat.

 «Ça explique pourquoi je ne suis pas à Paris aujourd'hui 

mais avec et parmi vous mes camarades ,

je vous remercie salutations fraternelles  ».

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Cotisation 2012

Cher(e) Camarades,

La commission Administrative de l'Union Départementale Force Ouvriére du Pas de Calais réunie le 28 novembre 2011 a fixé et addopté à l'unanimité ,le prix du timbre syndical 2012 à 3.38 Euros .

La hausse constatée par rapport à2011 est de 0.04euros et est répartie comme suit :

+0.02 euros pour la Confédération

+0.01 euros pour l'UNION Départementale

+0.01 euros pour les unions locales

Vous trouverez ci joint , un bon de commande 2012 à retourner à l'UD au plus vite,afin que le matériel commandé puisse vous être adressé dans les plus brefs délais .


Recommandations diverses

Nous croyons utile de vous rappeler la nécessité

De développer le placement des cartes et des timbres et d'augmenter de maniére significative la moyenne de prises de timbres et cartes.

De faire respecter l'obligation statutaire de la prise du timbre mensuel ( la carte syndicale doit comporter 12 timbres)

De proceder au reversement régulier des cotisations il est recommandé d'effectuer des versements trimestriels, en fonction des rentrées ( montant du réglement correspondant à un nombre de timbre).

Pour les groupements de syndicats il est obligatoire d'indiquer la répartition des timbres payés par syndicat à chaque versement .

Pour les syndicats départementaux il est obligatoire de ventiler les timbres par union locale (UL)  à chaque versement.

En vous remerciant par avance ,je vous prie de recevoir ,Cher(e)sCamarades;l'expression de mes sentiments syndicalistes les meilleurs.

                  

                                                                                                                                                                                                le Secrétaire Général

                                                                                                                                                                                         Jean Baptiste KONIECZNY


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STOP A L'AUSTERITE

NON A LA DICTATURE DE LA DETTE

POUR FORCE OUVRIERE DES SOLUTIONS EXISTENT

SUR LE PLAN INTERNATIONAL

FO ,AVEC LES PRINCIPAUX SYNDICATS SANS LE MONDE APPELLE

 

  1. A LA MISE SOUS CONTROLE DES MARCHES FINANCIERS ET A LA FIN DE LA SPECULATION  BOURSIERE
  2. A LA REDISTRIBUTION DES RICHESSES AU PROFIT DES POPULATIONS
  3. AU RESPECT DES NORMES INTERNATIONALES DU TRAVAIL CONTRE LE DUMPING SOCIAL
  4. A UNE REORIENTATION IMPORTANTE DE LA CONSTRUCTION EUROPEENNE

SUR LE PLAN NATIONAL

FO REVENDIQUE

  1. UNE AUGMENTATION GENERALE ET SIGNIFICATIVE DES SALAIRES ,DES PENSIONS ET DES MINIMAS SOCIAUX (justice sociale, relance économique createrice d'emplois)
  2. UNE POLITIQUE INDUSTRIELLE AMBITIEUSE
  3. LE RENFORCEMENT DES SERVICES PUBLICS ET DE LA PROTECTION SOCIALE COLLECTIVE PAR ARRET DE LA RGPP
  4. UNE POLITIQUE FISCALE BASEE SUR L'EGALITE REPUBLICAINE ET UNE REDISTRIBUTION EFFECTIVE DES RICHESSES

CE QU IL FAUT ACTUELLEMENT C' EST RECLAMER L' ABANDON DE TOUTES LES MESURES D'AUSTERITE QUI PLOMBENT LES SALARIES


RAPPROCHEZ -VOUS DES UNIONS DEPARTEMENTALES FORCES OUVRIERE ET REJOIGNEZ LE SYNDICALISME LIBRE ET INDEPENDANT

                                          CELUI QUI AFFICHE CLAIREMENT SES POSITIONS EN TOUTE CIRCONSTANCE.


 NON

  1. A L 'ACCELERATION DE LA CONTRE REFORME -DES RETRAITES
  2. BAISSE DES PRESTATIONS SOCIALES ,FAMILIALES ET AIDES AU LOGEMENT
  3. A LA REFORME DE L'IMPOT SUR LE REVENU
  4. RESTRICTION DE LA SANTE
  5. A LA HAUSSE DE LA TVA  


OUI

A L 'ABANDON DE L' AUSTERITE

APPEL CLAIR  A LA GREVE

PUBLIC - PRIVE

24H ET PLUS ..................


ETRE SOLIDAIRES POUR NE PLUS ETRE SOLITAIRES

FO LA FORCE DE L'INDEPENDANCE

LA FORCE PAR LA REVENDICATION



GREVE LE 15 DECEMBRE 2011

CONTRE L'ALLONGEMENT DE LA DUREE DE TRAVAIL

CONTRE LA SUPPRESSION DES POSTES D'ENSEIGNANTS

CONTRE LA DEGRADATION DES CONDITIONS DE TRAVAIL

CONTRE LA MODIFICATION D'EVALUATION DES PERSONNELS


FAIRE GREVE  LE  15 DECEMBRE 2011


NE PAS LA FAIRE C'EST PERDRE PLUS QU'UNE JOURNEE DE SALAIRE .........

VOIR LE SITE DE NOS CAMARADES ENSEIGNANTS

SNUDI-FO62

http://snudifo62.over.blog.com

Renseignements :0689230096

-----------------------------------------------------------------------------------------------------

LA 12 EME JOURNEE NATIONALE  FO  DU HANDICAP

C'EST TENUE LE 7 DECEMBRE 2011

 A PARIS

"EMBAUCHE ET MAINTIEN DANS L'EMPLOI" :

UN ACTE CITOYEN 

POUR LES PERSONNES HANDICAPEES

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SOYONS SOLIDAIRES

 POUR NE PAS ETRE SOLITAIRES ET FAIBLES

SOYONS NOMBREUX : L'UNION FAIT LA FORCE

FAISONS NOUS ENTENDRE POUR EXISTER ET RESISTER

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LA SANTE AU TRAVAIL -LA SOUFFRANCE AU TRAVAIL

LES NOUVEAUX ENJEUX DE LA SOCIETE

LUTTE CONTRE LE CHOMAGE ET LA PRECARITE

DIGNITE POUR TOUS

ATTENTION AUX REFORMES

POUR UN MEILLEUR OU POUR UN PIRE ?

SOYONS VIGILANTS ET INDEPENDANTS

SOYONS SOLIDAIRES POUR NE PAS ETRE SOLITAIRES

MOBILISONS NOUS


JOYEUSES FETES A TOUS       -------       JOYEUSES FETES A TOUS


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ÉDITORIAL DE JEAN-CLAUDE MAILLY DATÉ DU MERCREDI 23 NOVEMBRE 2011



L'Éditorial de Jean-Claude Mailly



c C’est com                                             bDEUX POIDS DEUX MESURES


 

Le gouvernement cumule les annonces et décisions à l’encontre des salariés du privé et du public.

Après avoir durci la contreréforme de 2010 sur les retraites, augmenté la TVA et l’impôt sur le revenu, bridé le pouvoir d’achat des prestations sociales, réduit encore les dépenses publiques et sociales, il veut ajouter un jour de carence supplémentaire en cas de maladie aux salariés du privé et en créer un pour les fonctionnaires.

Dans le privé, cela pénalisera fortement les salariés dont, déjà, les trois premiers jours de carence ne sont pas pris en charge faute d’accord collectif. Cela concerne plus particulièrement les salariés des TPE et des PME. C’est une forme de mépris à leur égard.

Dans la fonction publique, ce n’est pas la Sécurité sociale qui est concernée mais l’État, car c’est lui qui maintient le salaire. Ce n’est pas de l’équité, c’est tout simplement une économie budgétaire sur le dos des fonctionnaires.

Le premier jour de maladie sera considéré comme un jour de grève en quelque sorte, sauf qu’on choisit de faire grève, on ne choisit pas d’être malade et on s’arrête sur prescription médicale. Nombre de médecins du travail considèrent d’ailleurs qu’un arrêt de quelques jours correspond souvent à une décompression indispensable face au stress, qui risque dès lors de s’accroître.

Pire, comme le gouvernement a laissé le champ libre à des officines privées pour contrôler, avec les médecins appointés par l’employeur, les arrêts de travail, on accroît la suspicion sur les travailleurs, qui risquent de devoir rembourser les indemnités journalières ou l’État.

Pour FO, les contrôles doivent être exercés par les médecins de la Sécurité sociale, pas par des médecins privés.

Le gouvernement serait beaucoup plus efficace budgétairement s’il s’attaquait à la fraude sur la TVA ou à la fraude fiscale, qui représentent des dizaines de milliards d’euros. En quelque sorte, la fraude des riches c’est de l’intelligence qu’on épargne; celle supposée des moins favorisés qu’on stigmatise, une arnaque qu’on sanctionne. Deux poids deux mesures qui ne peuvent qu’alimenter le populisme le plus dangereux.

Face à ce train d’austérité, les syndicats se sont réunis le vendredi 18 novembre pendant plusieurs heures au siège de la CGT. Dès avant la réunion, Force Ouvrière avait clairement annoncé sa position:

- oui à une action commune déterminée. Si nous acceptons l’idée d’une première journée avec manifestations, une deuxième journée ne peut se traduire que par un appel clair, en commun, à 24 heures de grève interprofessionnelle;

- non à une succession de journées d’action;

- nécessité de revendications claires.

Cette réunion fut décevante, les tensions nombreuses. Dans ces conditions, Force Ouvrière, qui a accepté d’assister à une réunion des syndicats mais refuse le carcan anesthésiant de «l’intersyndicale», n’est pas signataire de la déclaration commune des cinq syndicats. Celle-ci appelle à diffuser un texte commun (à rédiger) du 1er au 15 décembre, avec un «temps fort» (rassemblements notamment) le 13 décembre.

Nous diffuserons nos propres revendications et positions, et notre participation au 13 ne peut être que sur ces bases.

La Commission exécutive confédérale du 24 novembre fera le point.

Encore une fois, nous devons garder nos positions, notre cohérence et notre détermination.

Sur le terrain. Après avoir assisté au congrès de la Fédération Force Ouvrière des Services publics et de Santé, qui réunissait 2 000 militant(e)s à Dunkerque, j’ai visité, jeudi dernier, deux centres pénitentiaires (Sequedin et Annœullin) près de Lille, après avoir visité celui de Réau en Seine-et-Marne en début de semaine. Les prisons nouvelles, parfois construites sous forme de partenariat public-privé, risquent de coûter cher au budget de l’État pour un investissement de l’ordre de 80 millions d’euros, un total annuel de 12 à 15 millions de location et d’entretien pendant vingt-sept ans!
Plus «sécurisées», ces prisons sont aussi beaucoup plus sectorisées. L’esprit d’équipe risque de disparaître chez les surveillants et les contraintes s’accentuent, sans parler de la surpopulation carcérale dans les maisons d’arrêt, qui accroît les tensions entre détenus et rend plus difficile le travail de surveillant.
Samedi, je suis allé soutenir, en Normandie, les salariés de l’entreprise Honeywell de Condé-sur-Noireau, confrontés à une «direction voyou», qui veut fermer le site pour délocaliser en Roumanie. Une table ronde sera organisée prochainement à Paris, à notre demande, avec les ministères de l’Industrie et du Travail. Nous ne lâcherons pas le morceau.
                                                                                                                                                                                       Jean-Claude Mailly, Secrétaire général

défendent.

 LE TAUX DE PAUVRETÉ

 ET

 LES INÉGALITÉS DE NIVEAU DE VIE

 AUGMENTENT DE FAÇON ALARMANTE



Aujourd’hui, la grande précarité n’épargne ni les jeunes, ni les étudiants, ni les retraités, ni les salariés qui ont un emploi et encore moins ceux qui sont exclus du marché du travail.

8,2 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté, c’est-à-dire près d’un Français sur sept.

En 2009, le taux de pauvreté en France s’établissait à 13,5% de la population, en hausse de 0,5 point par rapport en 2008, ce qui a signifié que 400.000 personnes de plus sont tombées dans la trappe à pauvreté.

Ces chiffres accablants ne peuvent que frapper les consciences. Ils sont extraits d’une étude de l’INSEE publiée à la fin du mois d’août dernier et portent sur 2009, année qui a ressenti les premiers effets de la crise de 2008.

Il est malheureusement fort à craindre que, sous les effets conjugués de la politique libérale, des contraintes des directives européennes, du chômage persistant, de la précarité des emplois, de la multiplication du travail à temps partiel, du durcissement des conditions d’accès aux minima sociaux et à la retraite à taux plein, la situation actuelle soit encore plus dégradée et qu’en deux ans, le sort des plus démunis se soit encore aggravé. Le pire pourrait être à venir.

Le seuil de pauvreté est une mesure statistique qui selon la définition en vigueur en Europe, correspond à un niveau de vie inférieur à 60% du revenu médian*. Il correspond, en 2009, à 954 euros mensuels. 8,2 millions de personnes vivent en dessous de ce seuil, dont la moitié avec moins de 773 euros par mois.

A titre de comparaison en 2011, le montant du revenu de solidarité active socle (RSA), pour une personne, s’élève en 2011 à 466,99 euros par mois. Pour un retraité, le montant maximum de l’allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA) au 1er avril 2011, soumis à condition de ressources, est de 742,27 euros par mois pour une personne seule.

La situation s’est fortement détériorée pour 40% des personnes les plus modestes. Alors qu’entre 2005 et 2008, elles avaient vu leur niveau de vie progresser de 2% par an, la tendance s’est inversée entre 2008 et 2009.

En 2009 en effet, le niveau de vie des 10% des personnes les plus modestes s’avère inférieur à 867,5 euros par mois, en baisse de 1,1% par rapport à 2008.

Rappelons que dès 2005, le rapport du Comité national des retraités et personnes âgées (CNRPA) intitulé «L’érosion du pouvoir d’achat des retraités», réalisé sous l’impulsion des représentants Force Ouvrière de la Commission ressources des retraités (Benoît Jayez, animateur de la Commission ; Hélène Ho Minh Triet, assistante confédérale) mettait l’accent sur l’évolution du risque de pauvreté parmi les personnes âgées. (lire extrait ci–dessous)

LES INEGALITES SE CREUSENT

L’INSEE dresse le constat que les écarts entre les niveaux de vie se creusent. Le niveau de vie plancher des 10% des personnes les plus nanties est 3,4 fois plus élevé que le niveau de vie plafond des 10% de personnes les plus modestes.

LES PRESTATIONS SOCIALES ONT JOUE UN ROLE CRUCIAL D’AMORTISSEUR

La part des prestations sociales dans les revenus des 10% des personnes les plus pauvres a augmenté, passant de 36,3% en 2008 à 39,3% en 2009. Des mesures ponctuelles ont permis d’atténuer les effets de la crise sur les ménages modestes. Ces dispositions ont concouru à atténuer les effets de la crise sur les ménages modestes et à limiter l’augmentation du taux de pauvreté entre 2008 et 2009.

UN RETRAITE SUR DIX EST PAUVRE

La retraite n’est pas un paravent contre la pauvreté. En 2009, avant la réforme durcissant les conditions de liquidation de la retraite à taux plein, 9,9% des retraités vivent dans la pauvreté, soit 1.308.000 personnes, c’est-à-dire un retraité sur dix.

LA PAUVRETE TOUCHE LES SALARIES, SEVIT PARMI LES CHOMEURS ET N’EPARGNE PAS LES JEUNES

Le travail ne met plus à l’abri de l’exclusion sociale. Il y a malheureusement 10,1% des actifs âgés d’au moins dix-huit ans, pauvres, soit 2.800.000 personnes.


Dans la catégorie des salariés, le taux de pauvreté est de 6,3%, soit près de 1,4 millions de personnes. Parmi les chômeurs, même si le taux de pauvreté des ceux-ci a diminué de 1,1 point par rapport à 2008, on dénombre 34,7% de chômeurs vivant en dessous du seuil de pauvreté, c'est-à-dire 930.000 personnes. Chez les jeunes, un étudiant sur cinq a un niveau de vie inférieur au seuil de pauvreté, soit 351.000 étudiants.

Derrière ces statistiques, il y a une réalité sociale : la dureté de la vie de ces millions d’hommes et femmes qui n’ont pas de revenus suffisants, qui vivent dans des conditions qui ne leur permettent pas de se loger, de se soigner, de se chauffer, de se déplacer, de se nourrir... de façon correcte, qui sont contraints de faire des arbitrages budgétaires sur des dépenses de première nécessité.

Il y a lieu de s’interroger sur l’impact des politiques de réduction des dépenses publiques, des budgets et services sociaux et de remises en cause des systèmes de protection sociale collective que le gouvernement a engagées et qui menacent la cohésion sociale.

L’histoire sociale a hélas montré qu’à toutes les époques et dans toutes les sociétés, les inégalités sociales,
la pauvreté, peuvent être sources d’actions violentes de désespoir. Dans un pays aussi riche qu’est la France, les poches de pauvreté sont non seulement indécentes et inacceptables, mais sont surtout une atteinte aux valeurs républicaines.

*En 2009, le revenu annuel médian s’élève à 19.080 euros, soit 1.590 euros par mois.
Sources: INSEE Première, n°1365, août 2011





c C’est sORl
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c C’est imposer, par le syndicat la négociation pour l’augmentation des salaires et l’amélioration des cÊtre syndiqué à Force Ouvrière, c’est quoi ?
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c C’est combattre l’isolement dans l’entreprise en rejoignant une équipe de camarades qui se défendent.
c C’est se faire respecter par la hiérarchie et le patron.
c C’est imposer, par le syndicat la négociation pour l’augm
la entation des salaires et l’amélioration des conditions de travail.
c C’est le quotidien pour le salarié et sa famille :
  • le syndicat aide à faire respecter les droits face à la complexité des organismes sociaux.
  • L’AFOC fait respecter les droits des consommateurs FO face aux commerçants récalcitrants.
c C’est recevoir l’information pour les droits à la formation continue au travail ou pour trouver une autre filière professionnelle.
c C’est mieux connaître la législation du 1% logement pour la recherche d’un logement ou pour faire construire.
c C’est aussi un avantage pour la réduction de l’imposition de 66% ! Avantage non négligeable !
onditions de travail.
c C’est le quotidien pour le salarié et sa famille :
  • le syndicat aide à faire respecter les droits face à la complexité des organismes sociaux.
  • L’AFOC fait respecter les droits des consommateurs FO face aux commerçants récalcitrants.
c C’est recevoir l’information pour les droits à la formation continue au travail ou pour trouver une autre filière professionnelle.
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c C’est aussi un avantage pour la réduction de l’imposition de 66% ! Avantage non négligeable !
Ouvrière, c’est quoi ?

c C’est combattre l’isolement dans l’entreprise en rejoignant une équipe de camarades qui se défendent.
c C’est se faire respecter par la hiérarchie et le patron.
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