Plus sensibles aux sirènes patronales qu’aux attentes des salariés actifs, chômeurs ou retraités, en témoigne le « pacte de responsabilité » les pouvoirs publics prennent le parti d’accentuer une logique de rigueur ou d’austérité.
En appelant à des rassemblements, manifestations et à la grève le 18 mars, Force Ouvrière veut donner la possibilité aux salariés de se faire entendre et respecter.
– Pour des augmentations de salaire dans le privé et dans le public ;
– pour un réel soutien à l’activité économique et à la création d’emplois ;
– pour garantir les droits sociaux à la Sécurité sociale, en matière de maladie, vieillesse, famille ;
– pour la préservation de réels services publics, au bénéfice des usagers et citoyens, indispensables à la République.
C’est dans la rue que ça se passera le 18 mars prochain.